Utiliser le scandale Bétharram pour instruire le procès de l’enseignement privé ? D’aucuns n’ont pas tardé à s’y essayer, contribuant alors à occulter la question pourtant primordiale de la violence éducative.
" Notre « crise d’identité », vraie ou supposée est, à bien des égards, une crise de l’imaginaire historique et de la vision de la chose publique. Quelle histoire commune et plurielle permettrait ici et là de lutter contre les fanatismes, les haines ou la simple désaffection ? " Suzanne Citron
Utiliser le scandale Bétharram pour instruire le procès de l’enseignement privé ? D’aucuns n’ont pas tardé à s’y essayer, contribuant alors à occulter la question pourtant primordiale de la violence éducative.
Violence de l’école ou violence des élèves ? Si peu sensibles au drame vécu par des générations d’élèves à Bétharram et ailleurs, plusieurs initiatives publiques récentes renversent les responsabilités : à l’école, le danger vient d’abord des élèves.
La complaisance manifestée par l’Éducation nationale et les pouvoirs publics pour Bétharram tranche singulièrement avec la brutalité de rigueur pour les établissements musulmans, faisant voler en éclat les leçons de morale sur les « valeurs de la république » à l’école.
Le RN premier parti de France : ce n’est plus un cauchemar, c’est une réalité. Refuser de poser la question de savoir comment le cauchem...