« Si notre pays flanche parce qu'il n'est pas prêt à perdre ses enfants, parce qu'il faut dire les choses, (...), si on n'est pas prêt à ça, alors on est à risque. » Perdre ses enfants à la guerre ? Avec cette formule, le chef de l’état-major des armées françaises s’inscrit dans la lignée de tous ces chefs de guerre courageux avec la peau des autres.